Les sites internet concernant les biens spoliés fournissent des informations de première main indispensables. Même s’ils ne peuvent en rien se substituer au contact direct avec les œuvres, les outils qu’ils mettent à disposition sont inestimables. Ils permettent de faire la lumière sur des œuvres connues, ou non, et de palier aux impasses faites par certains catalogues raisonnés.

Intervention de Thierry Bajou, service des musées de France, direction générale des patrimoines, ministère de la culture et de la communication, enregistrée le 22 janvier 2015 dans le cadre du colloque « Patrimoines spoliés. Etat des lieux et instruments de recherche».