Chaque restauration apparaît comme une trahison puisqu’elle éloigne le monument de sa nature première. C’est pourquoi, comme il est indiqué dans la charte de Venise, la restauration doit garder un « caractère exceptionnel ». Cependant, c’est au restaurateur de juger quand il doit ou non intervenir.

Intervention de Delphine Christophe, conservatrice régionale des monuments historiques, coordonnatrice du pôle Architecture et Patrimoines, DRAC Languedoc-Roussillon, enregistrée le 17 juin 2015 dans le cadre du colloque « La déontologie. Rôle et responsabilités du conservateur ».