Quel que soit la nature des relations établies, le conservateur est amené à échanger avec l’universitaire mais également avec des acteurs appartenant au monde de la communication et de la politique.

Cependant, il existe tout autant de convergences que de divergences dans ces relations, puisque le métier de conservateur ne s’arrête pas aux frontières françaises mais implique de nombreux pays tels que l’Allemagne ou les Etats-Unis.

Table ronde présidée par Michel Poivert, professeur des universités, directeur de l’UFR Histoire de l’Art et Archéologie, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne
Avec Andreas Beyer, directeur du Centre allemand d’histoire de l’art, Paris ; Caterina Bon Valsassina, surintendante régionale des biens culturels de la région Lombardie, Milan ; Jean-François Boudailliez, adjoint au maire en charge de la culture, ville de Roubaix ; Frédérique Boura, chef du service de l’Inventaire et du Patrimoine, Région Alsace ; Delphine Christophe, conservatrice régionale des monuments historiques, DRAC Languedoc-Roussillon ; Nathalie Fourment, conservatrice au service régional de l’Archéologie, DRAC Aquitaine ; Yves Le Fur, directeur du département du patrimoine et des collections, musée du Quai Branly ; Jean-Marc Legrand, directeur général adjoint du CNFPT et directeur de l’INET ; Olivier Meslay, conservateur en chef au Dallas Museum of Art, États-Unis et Pascale Verdier, directrice des Archives départementales du Bas-Rhin.

Interventions enregistrées le 23 novembre 2010, dans le cadre du colloque « Conserver, restaurer demain. Quelles formations pour quels métiers ? »

Photo _ Crédits CC by Inp via Flickr