Même si un code international de déontologie de l’archiviste existe, cette réglementation ne suffit pas toujours. C’est là qu’intervient l’éthique du conservateur face au problème des choix. Cette approche éthique apparaît notamment comme une obligation dans le cas du traitement des données à caractère personnel, donc délicates.

Intervention de Bruno Ricard, sous-directeur de la communication et de la valorisation des archives, service interministériel des Archives de France, direction générale des patrimoines, ministère de la Culture et de la communication, enregistrée le 17 juin 2015 dans le cadre du colloque « La déontologie. Rôle et responsabilités du conservateur ».