A partir de 2012/13, il devient intolérable qu’un si grand nombre d’œuvres spoliées n’aient pas retrouvé leur propriétaire. Attendre des réclamations n'est plus suffisant, il convient désormais d’identifier les ayant-droits. Il s’agit là d’une des démarches volontaristes du groupe de travail sur la recherche de provenance, permettant de clarifier la situation des MNR et d’identifier les propriétaires des œuvres spoliées.

Intervention de France Legueltel, magistrat rapporteur auprès de la Commission pour l'indemnisation des victimes de spoliations (CIVS), enregistrée le 2 juin 2016 dans le cadre du colloque « Patrimoines spoliés. Regards croisés France – Allemagne ».