institut national du patrimoine

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Retransmission audio des conférences de l'Institut national du patrimoine

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Table ronde - Légitimité des savoirs et patrimoines absents

INTERVENANTS
Damien Bril, élève conservateur du patrimoine en spécialité musées à l'Institut national du patrimoine
Dominique Frère, professeur à l'Université Bretagne Sud, membre du laboratoire TEMOS (UMR 9016 du CNRS)
Edouard de Laubrie, chargé de collections et de recherches, responsable du Pôle Agriculture et alimentation au MuCEM, Marseille
Coralie Douat, doctorante en science politique à l'Université Paris X Nanterre, rattachée à l'Institut des Sciences Sociales du Politique
Damien Hamard, docteur en archivistique et membre associé du laboratoire TEMOS (UMR 9016 du CNRS, Université d'Angers)

A PROPOS DE LA JOURNEE D'ETUDE
Cette journée d’étude sur la notion de « patrimoines absents » est organisée parles élèves conservatrices et conservateurs de la promotion Michelle Perrot (2022-2023), dans le cadre de leur formation à l’Institut national du patrimoine et à l’Institut National des Études Territoriales.

Les professionnels de la culture et du patrimoine sont, dans de nombreuses situations, confrontés à l’absence. A l’absence d’archives sur un sujet, d’objets ou d'œuvres attestant l’histoire d’une période ou d’une communauté, de traces témoignant d’un monument ou d’un site archéologique disparu. Peut-on interpréter ces absences ? De quelles manières ? Constituent-elles des écueils infranchissables, ou ne peuvent-elles pas, dans certains cas, être plus signifiantes encore que la présence effective de ces artéfacts ? Étudier les patrimoines absents questionne nos pratiques, nos éthiques professionnelles et nos méthodologies de recherche. Michelle Perrot, dont les travaux inspirent nos réflexions, n’a eu de cesse d’interpréter ces lacunes et d’interroger tout au long de sa carrière ce sujet de l'absence afin, dit-elle, de « faire parler les silences de l’histoire ».

Cette journée pluridisciplinaire questionnera ainsi, sous différents prismes, les multiples formes d’absence que peuvent revêtir ces patrimoines aux absences multiples. Ceux qui n’ont jamais existé, n’ont laissé aucune trace ; ceux qui furent jugés illégitimes, dérisoires ; ceux dont les vestiges ont été recouverts ou volontairement invisibilisés, effacés ; ceux dont les témoignages ont accidentellement disparu, dont les souvenirs ont été dénigrés ; ceux, encore, réputés absents car non institutionnalisés.

Nous souhaitons, à travers cette journée mêlant chercheurs et professionnels du patrimoine, interroger à la fois les raisons de ces « absences», et réfléchir aux manières et aux outils que nous pouvons mettre en place pour visibiliser et transmettre ces patrimoines.

Crédit de l'image : Solignac, Lucien. Protection des monuments pendant la guerre de 1914-1918. (Titre de la série) [Photographie]. Musée Carnavalet, Histoire de Paris, Paris, Île de France, France. CC0 1.0 universel.

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Dispersés, disparus - Peuples et patrimoines au prisme d'une histoire des manques

INTERVENANTS
Virginie Guffroy, élève conservatrice territoriale du patrimoine en spécialité musées à l'Institut national du patrimoine
Marion Bertin, docteurs en anthropologie (La Rochelle Université), diplômée de troisième cycle en histoire de l'art et muséologie Ecole du Louvre), attachée temporaire d'enseignement et de recherche (ATER) en muséologie à l'Université d'Avignon et chercheuse au Centre Norbert Elias (UMR 8562)
Angelos Triantafyllou, docteur-ès-lettres (Université-Paris-7), Université Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines

A PROPOS DE LA JOURNEE D'ETUDE
Cette journée d’étude sur la notion de « patrimoines absents » est organisée parles élèves conservatrices et conservateurs de la promotion Michelle Perrot (2022-2023), dans le cadre de leur formation à l’Institut national du patrimoine et à l’Institut National des Études Territoriales.

Les professionnels de la culture et du patrimoine sont, dans de nombreuses situations, confrontés à l’absence. A l’absence d’archives sur un sujet, d’objets ou d'œuvres attestant l’histoire d’une période ou d’une communauté, de traces témoignant d’un monument ou d’un site archéologique disparu. Peut-on interpréter ces absences ? De quelles manières ? Constituent-elles des écueils infranchissables, ou ne peuvent-elles pas, dans certains cas, être plus signifiantes encore que la présence effective de ces artéfacts ? Étudier les patrimoines absents questionne nos pratiques, nos éthiques professionnelles et nos méthodologies de recherche. Michelle Perrot, dont les travaux inspirent nos réflexions, n’a eu de cesse d’interpréter ces lacunes et d’interroger tout au long de sa carrière ce sujet de l'absence afin, dit-elle, de « faire parler les silences de l’histoire ».

Cette journée pluridisciplinaire questionnera ainsi, sous différents prismes, les multiples formes d’absence que peuvent revêtir ces patrimoines aux absences multiples. Ceux qui n’ont jamais existé, n’ont laissé aucune trace ; ceux qui furent jugés illégitimes, dérisoires ; ceux dont les vestiges ont été recouverts ou volontairement invisibilisés, effacés ; ceux dont les témoignages ont accidentellement disparu, dont les souvenirs ont été dénigrés ; ceux, encore, réputés absents car non institutionnalisés.

Nous souhaitons, à travers cette journée mêlant chercheurs et professionnels du patrimoine, interroger à la fois les raisons de ces « absences», et réfléchir aux manières et aux outils que nous pouvons mettre en place pour visibiliser et transmettre ces patrimoines.

Crédit de l'image : Solignac, Lucien. Protection des monuments pendant la guerre de 1914-1918. (Titre de la série) [Photographie]. Musée Carnavalet, Histoire de Paris, Paris, Île de France, France. CC0 1.0 universel.

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Occultés par violence - Ce que la guerre fait aux patrimoines

INTERVENANTS
Fiona Lüddecke, élève conservatrice territoriale du patrimoine en spécialité musées à l'Institut national du patrimoine
Anne Labourdette, conservatrice au département des Objets d'art du musée du Louvre
Hervé Cabezas, conservateur au musée Antoine-Lécuyer de Saint-Quentin
Mathilde Mura, docteure en archéologie (Paris 1), Archaïos et UMR 7041 ArScAn-VEPMO

A PROPOS DE LA JOURNEE D'ETUDE
Cette journée d’étude sur la notion de « patrimoines absents » est organisée parles élèves conservatrices et conservateurs de la promotion Michelle Perrot (2022-2023), dans le cadre de leur formation à l’Institut national du patrimoine et à l’Institut National des Études Territoriales.

Les professionnels de la culture et du patrimoine sont, dans de nombreuses situations, confrontés à l’absence. A l’absence d’archives sur un sujet, d’objets ou d'œuvres attestant l’histoire d’une période ou d’une communauté, de traces témoignant d’un monument ou d’un site archéologique disparu. Peut-on interpréter ces absences ? De quelles manières ? Constituent-elles des écueils infranchissables, ou ne peuvent-elles pas, dans certains cas, être plus signifiantes encore que la présence effective de ces artéfacts ? Étudier les patrimoines absents questionne nos pratiques, nos éthiques professionnelles et nos méthodologies de recherche. Michelle Perrot, dont les travaux inspirent nos réflexions, n’a eu de cesse d’interpréter ces lacunes et d’interroger tout au long de sa carrière ce sujet de l'absence afin, dit-elle, de « faire parler les silences de l’histoire ».

Cette journée pluridisciplinaire questionnera ainsi, sous différents prismes, les multiples formes d’absence que peuvent revêtir ces patrimoines aux absences multiples. Ceux qui n’ont jamais existé, n’ont laissé aucune trace ; ceux qui furent jugés illégitimes, dérisoires ; ceux dont les vestiges ont été recouverts ou volontairement invisibilisés, effacés ; ceux dont les témoignages ont accidentellement disparu, dont les souvenirs ont été dénigrés ; ceux, encore, réputés absents car non institutionnalisés.

Nous souhaitons, à travers cette journée mêlant chercheurs et professionnels du patrimoine, interroger à la fois les raisons de ces « absences», et réfléchir aux manières et aux outils que nous pouvons mettre en place pour visibiliser et transmettre ces patrimoines.

Crédit de l'image : Solignac, Lucien. Protection des monuments pendant la guerre de 1914-1918. (Titre de la série) [Photographie]. Musée Carnavalet, Histoire de Paris, Paris, Île de France, France. CC0 1.0 universel.

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Pour une stratigraphie de l'absence

INTERVENANTES
Marianne Tricoire, élève conservatrice du patrimoine en spécialité musées à l'Institut national du patrimoine
Servane Hardouin-Delorme, cheffe de projets culturels, château de Versailles et directrice de "Bagalad. Les humains du patrimoine"
Lili Davenas, conservatrice des Monuments historiques, DRAC Auvergne-Rhône-Alpes
Marie-Blanche Potte, conservatrice générale du patrimoine, conservatrice régionale des Monuments historiques adjointe en charge du site de Lyon, DRAC Auvergne-Rhône-Alpes

A PROPOS DE LA JOURNEE D'ETUDE
Cette journée d’étude sur la notion de « patrimoines absents » est organisée parles élèves conservatrices et conservateurs de la promotion Michelle Perrot (2022-2023), dans le cadre de leur formation à l’Institut national du patrimoine et à l’Institut National des Études Territoriales.

Les professionnels de la culture et du patrimoine sont, dans de nombreuses situations, confrontés à l’absence. A l’absence d’archives sur un sujet, d’objets ou d'œuvres attestant l’histoire d’une période ou d’une communauté, de traces témoignant d’un monument ou d’un site archéologique disparu. Peut-on interpréter ces absences ? De quelles manières ? Constituent-elles des écueils infranchissables, ou ne peuvent-elles pas, dans certains cas, être plus signifiantes encore que la présence effective de ces artéfacts ? Étudier les patrimoines absents questionne nos pratiques, nos éthiques professionnelles et nos méthodologies de recherche. Michelle Perrot, dont les travaux inspirent nos réflexions, n’a eu de cesse d’interpréter ces lacunes et d’interroger tout au long de sa carrière ce sujet de l'absence afin, dit-elle, de « faire parler les silences de l’histoire ».

Cette journée pluridisciplinaire questionnera ainsi, sous différents prismes, les multiples formes d’absence que peuvent revêtir ces patrimoines aux absences multiples. Ceux qui n’ont jamais existé, n’ont laissé aucune trace ; ceux qui furent jugés illégitimes, dérisoires ; ceux dont les vestiges ont été recouverts ou volontairement invisibilisés, effacés ; ceux dont les témoignages ont accidentellement disparu, dont les souvenirs ont été dénigrés ; ceux, encore, réputés absents car non institutionnalisés.

Nous souhaitons, à travers cette journée mêlant chercheurs et professionnels du patrimoine, interroger à la fois les raisons de ces « absences», et réfléchir aux manières et aux outils que nous pouvons mettre en place pour visibiliser et transmettre ces patrimoines.

Crédit de l'image : Solignac, Lucien. Protection des monuments pendant la guerre de 1914-1918. (Titre de la série) [Photographie]. Musée Carnavalet, Histoire de Paris, Paris, Île de France, France. CC0 1.0 universel.

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Accueil et introduction

INTERVENANTS
Charles Personnaz, directeur de l'Institut national du patrimoine
Julie Amiot-Guillouet, professeure des Universités, codirectrice de l'UMR n°9022 Héritages, directrice du Collège Doctoral et Post-doctoral de CY Cergy Paris Université
Michelle Perrot, historienne, professeurs émérite d'histoire contemporaine de l'université Paris 7-Denis-Diderot
Elèves conservatrices et conservateurs du patrimoine de la promotion Michelle Perrot de l'Institut national du patrimoine

A PROPOS DE LA JOURNEE D'ETUDE
Cette journée d’étude sur la notion de « patrimoines absents » est organisée parles élèves conservatrices et conservateurs de la promotion Michelle Perrot (2022-2023), dans le cadre de leur formation à l’Institut national du patrimoine et à l’Institut National des Études Territoriales.

Les professionnels de la culture et du patrimoine sont, dans de nombreuses situations, confrontés à l’absence. A l’absence d’archives sur un sujet, d’objets ou d'œuvres attestant l’histoire d’une période ou d’une communauté, de traces témoignant d’un monument ou d’un site archéologique disparu. Peut-on interpréter ces absences ? De quelles manières ? Constituent-elles des écueils infranchissables, ou ne peuvent-elles pas, dans certains cas, être plus signifiantes encore que la présence effective de ces artéfacts ? Étudier les patrimoines absents questionne nos pratiques, nos éthiques professionnelles et nos méthodologies de recherche. Michelle Perrot, dont les travaux inspirent nos réflexions, n’a eu de cesse d’interpréter ces lacunes et d’interroger tout au long de sa carrière ce sujet de l'absence afin, dit-elle, de « faire parler les silences de l’histoire ».

Cette journée pluridisciplinaire questionnera ainsi, sous différents prismes, les multiples formes d’absence que peuvent revêtir ces patrimoines aux absences multiples. Ceux qui n’ont jamais existé, n’ont laissé aucune trace ; ceux qui furent jugés illégitimes, dérisoires ; ceux dont les vestiges ont été recouverts ou volontairement invisibilisés, effacés ; ceux dont les témoignages ont accidentellement disparu, dont les souvenirs ont été dénigrés ; ceux, encore, réputés absents car non institutionnalisés.

Nous souhaitons, à travers cette journée mêlant chercheurs et professionnels du patrimoine, interroger à la fois les raisons de ces « absences», et réfléchir aux manières et aux outils que nous pouvons mettre en place pour visibiliser et transmettre ces patrimoines.

Crédit de l'image : Solignac, Lucien. Protection des monuments pendant la guerre de 1914-1918. (Titre de la série) [Photographie]. Musée Carnavalet, Histoire de Paris, Paris, Île de France, France. CC0 1.0 universel.